Changement à la présidence
Mercredi 20 mars, la section Broye-Vully a tenu son assemblée générale 2024, sous la présidence de
Bernard Nicod. En relation avec une proposition formulée lors de la précédente assemblée générale,
la caissière Annick Steck a précisé que le comité a consacré une part des réserves pour financer les
activités de l’exercice. Si le capital a ainsi diminué de quelque 2800 francs, il permet toutefois
d’envisager l’avenir avec sérénité. Après rapport favorable de Jean-Claude Sehmann, les comptes
2023 ont été acceptés à l’unanimité.
Le président Bernard Nicod a présenté le programme d’activités pour cette année. La course aura lieu
le jeudi 16 mai et l’animation «La tête et les jambes» mercredi après-midi 4 septembre. Quant à la
traditionnelle journée récréative, elle est fixée au vendredi 15 novembre. Les membres recevront les
détails d’inscription à ces manifestations en temps voulu.
André Cornamusaz aux commandes
Bernard Nicod ayant décidé de ne pas se porter candidat à une réélection comme président de
section, André Cornamusaz, membre du comité et préfet honoraire, a accepté de lui succéder. Il a
rendu hommage à l’engagement de son prédécesseur au service des retraités broyards. Quant au
démissionnaire, il a dit sa reconnaissance d’avoir pu oeuvrer au sein d’un comité actif et inventif.
Pour compléter le comité, Michel Cosendai a été élu par acclamations. Il vient renforcer l’équipe
formée de – outre le nouveau président André Cornamusaz – Florence Boldrini, secrétaire, absente
pour cause d’accident, Annick Steck, caissière et Georges Deschamps.
La présence à cette assemblée de Charlotte Deslarzes, vice-présidente cantonale, a été l’occasion de
débattre du système d’encaissement des cotisations par la Fédération cantonale, qui reverse aux
secctons la quote-part liée au nombre de leurs membres. Un système d’encaissement par les sections
a été évoqué.
Le dopage expliqué aux seniors
En prolongement des brefs débats de cette assemblée générale, le comité avait eu l’heureuse
initiative d’inviter Martial Saugy, docteur es sciences et ancien directeur du Laboratoire suisse
d’analyses du dopage, à Lausanne. En un tour d’horloge, le spécialiste international de lutte contre le
dopage, a expliqué les enjeux et les limites d’une démarche qui protège avec détermination les
valeurs prônées par le sport. Malheureusement, elle se heurte constamment aux enjeux financiers et
politiques qui y sont associés.
JDF